Finalement, on fait toujours la même chose… about doing or not doing the same thing. A multilingual discussion with Vincent Barré and Richard Deacon
YD: Vincent when did you get to know Richard’s work for the first time?
VB : La première fois que j’ai entendu parler de Richard, c’était en 1981. Je venais d’arrêter le métier d’architecte et de commencer les assemblages dans mon atelier de la Bastille. J’avais postulé à la Biennale d’Art de Paris. J’étais tout à fait immature et heureusement, je n’étais pas sélectionné, mais Anne Tronche, membre du jury m’avait mentionné ton nom, Richard, et fait part de son intérêt pour cette œuvre, très nouvelle dans le paysage artistique. […] J’étais allé voir ta sculpture, énigmatique, impressionnante. À cette époque, si j’avais déjà sérieusement travaillé les questions de l’espace et de la ville, mon expérience de la sculpture était tout à fait mince, et je réalisais là quel chemin il me faudrait parcourir. C’était la première rencontre. La seconde se situe vers 1987 lorsqu’assistant du sculpteur Georges Jeanclos à l’École des Beaux-Arts, nous décidons d’emmener nos étudiants voir l’exposition « Britannica » dans les musées de Normandie, de la jeune sculpture anglaise. […] Très tôt donc, j’ai vu des œuvres de Richard et réfléchi à ce qu’elles pouvaient me dire.
Finalement, on fait toujours la même chose… about doing or not doing the same thing. A multilingual discussion with Vincent Barré and Richard Deacon
YD: Vincent when did you get to know Richard’s work for the first time?
VB : La première fois que j’ai entendu parler de Richard, c’était en 1981. Je venais d’arrêter le métier d’architecte et de commencer les assemblages dans mon atelier de la Bastille. J’avais postulé à la Biennale d’Art de Paris. J’étais tout à fait immature et heureusement, je n’étais pas sélectionné, mais Anne Tronche, membre du jury m’avait mentionné ton nom, Richard, et fait part de son intérêt pour cette œuvre, très nouvelle dans le paysage artistique. […] J’étais allé voir ta sculpture, énigmatique, impressionnante. À cette époque, si j’avais déjà sérieusement travaillé les questions de l’espace et de la ville, mon expérience de la sculpture était tout à fait mince, et je réalisais là quel chemin il me faudrait parcourir. C’était la première rencontre. La seconde se situe vers 1987 lorsqu’assistant du sculpteur Georges Jeanclos à l’École des Beaux-Arts, nous décidons d’emmener nos étudiants voir l’exposition « Britannica » dans les musées de Normandie, de la jeune sculpture anglaise. […] Très tôt donc, j’ai vu des œuvres de Richard et réfléchi à ce qu’elles pouvaient me dire.